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Présentation

  • Lyzis et son L
  • : 10/12/2007
  • : Lire : Ici
Jeudi 17 juin 4 17 /06 /Juin 06:20


En acceptant l’invitation de mon collègue, je n’aurais jamais pu imaginer ce qui m’attendait.

J’arrivais donc ce lundi soir, à vingt heures, un bouquet de fleurs à la main.

Je découvris sa femme pour la première fois lorsqu’elle ouvrit la porte. Je savais qu’elle avait une petite quarantaine, mais je n’avais pas imaginé qu’elle la portait aussi merveilleusement. Son sourire, à la fois mutin et réservé… ses yeux immenses, légèrement maquillés…la sveltesse de sa silhouette et sa tenue légère… tout respirait la jeunesse.

J’étais intimidé, mon compagnon de bureau d’une dizaine d’année de plus que moi et avec qui nous plaisantions depuis presque un an maintenant, m’invitait chez lui pour la première fois. Je tendis donc mes fleurs et attendis gauchement sur le seuil que lui-même apparaisse enfin.

Il passa la tête par la porte du salon et éclata de rire en voyant mon air embarrassé.

-Ma femme t’effraye ? Elle est très douce tu sais… elle a déjà préparé le dîner… nous n’avons donc pas besoin de viande supplémentaire…

Son humour me surprenait toujours… il aurait pu faire allusion au fait que son absence aurait pu être équivoque… ou encore à mon manque de témérité… mais non ! Il parlait de moi comme d’un vulgaire morceau de viande me mettant tout de suite à l’aise par l’incongruité de ses propos…

 

Sa femme eut un petit rire joyeux et s’éloigna. Je ne pus m’empêcher de remarquer les mouvements de ses hanches que sa jupe courte amplifiait. Lorsqu’elle disparut dans la cuisine, je relevais les yeux et compris que son mari avait fait de même. Nous échangeâmes un regard qui en dit long sur l’entente qui nous liait… nous apprécions l’un comme l’autre la vision qu’elle nous avait offerte…

 

Bien installés dans les fauteuils du salon, nous discutions avec plaisir, ne nous interrompant que pour profiter des apparitions délicieuses de son épouse. Elle faisait des vas et vient entre la cuisine et nous, portant de petits toasts chauds, remplissant nos verres vides, débarrassant les assiettes que nous avions vidées. J’avais vite compris que mon comparse appréciait que je me régale autant que lui des pas dansant de sa compagne. Elle avait une démarche chaloupée des plus agréable. Son chemisier blanc légèrement trop ouvert laissait apercevoir la naissance de ses seins ronds et blancs et l’alcool aidant, je commençais à m’enhardir et à prolonger plus que nécessaire mes incursions visuelles.

Lorsqu’elle vint nous annoncer que le repas nous attendait, je la suivis avec plus d’empressement qu’il n’eut été convenable en temps ordinaire.

 

Le dîner calma mes ardeurs. Nous devisâmes tous trois avec animation. Elle était relativement silencieuse, mais ses interventions pertinentes et parfois même impertinentes nous ravissaient.

Lorsqu’elle se leva pour apporter le café, je sentis soudain l’atmosphère changer… Elle revint avec les joues légèrement rosés et ne se rassit pas entre nous. Elle resta debout près de son mari, les mains derrière le dos et les yeux troubles.

Lui, continua de converser avec moi comme s’il n’avait rien remarqué et bût tranquillement le breuvage brûlant.

Il posa sa tasse et leva enfin les yeux vers elle.

- Bien, allez chercher le carnet rouge ma chère.

Elle s’agita soudain… je pouvais deviner dans ses yeux une prière muette… elle me jeta un regard désespéré puis détourna les yeux aussitôt. Tout son corps exprimait un soudain malaise… elle triturait ses doigts dans son dos comme une fillette de dix ans…

- Vous saviez à quoi vous attendre… vous l’avez voulu… maintenant il est trop tard. Dépêchez-vous avant que je ne soit obligé d’y aller moi-même.

Elle partie presque en courant sur la pointe des pieds.

Je devais avoir un air de totale incompréhension. Ce soudain vouvoiement, cet émouvant trouble, cette panique même… je ne comprenais pas du tout ce qui se passait.

- Ne t’inquiète pas, le lundi est chez nous le soir des comptes.

Des comptes ? J’étais encore plus perplexe. Je me sentais soudain très mal à l’aise. Je ne voyais pas pourquoi ils n’avaient pas attendu mon départ pour faire leurs comptabilités de la semaine et je comprenais la gêne que cette femme avait ressentie à l’idée d’exposer leur vie financière devant un étranger. 

- Je vais vous laisser. Je ne veux surtout pas vous déranger.

- Non, non ! Elle savait depuis lundi dernier que tu serais là ce soir… elle est responsable. Si elle avait voulu éviter cela, elle aurait fait le nécessaire. Elle aime jouer avec le feu. Mais ne t’inquiète pas, je vois que tu es un peu désorienté. Tu vas apprécier… j’en suis sur… je te connais assez maintenant pour en être certain.

Je me sentais un peu pris au piège. J’étais à la fois, curieux de comprendre de quoi il parlait, mais en même temps, j’étais inquiet de la tournure des évènements.

 

Je n’eus pas le loisir de me poser trop de questions, elle revint rapidement. Son regard me fuyait et cela me perturbait. En même temps, ses yeux semblaient graves, mais le rouge de ses joues encore plus prononcé et le sourire qu’elle avait du mal à contenir, démentaient cette gravité.

Je choisis de ne plus me questionner et de laisser faire. Je restais donc perplexe et attentif.

Elle reprit sa place bien droite près de lui, et lui tendit un petit carnet à la couverture rouge, ainsi qu’un lourd stylo de métal.

Il l’ouvrit et commença à annoncer sur un ton sentencieux :

- Bien ! Deux verres cassés mercredi, cela fait donc 10

Le repas de jeudi brûlé, cela fait encore 10 ce qui nous fait 20

Vous avez tirez trois fois la langue à mon intention lorsque je vous ais reprise, ce qui nous fait 15, et nous arrivons donc à 45…

Il leva les yeux vers elle qui gardait les siens baissés depuis qu’il avait commencé à écrire.

-Dîtes moi un peu ma jolie ! Vous saviez que nous aurions un invité ce soir ?

Elle hocha timidement la tête, ses joues s’empourprant de nouveau.

- Vous avez donc sciemment fait tout cela en sachant que vous auriez un spectateur ?

Cette fois, elle resta écarlate, et dansa d’une jambe sur l’autre sans donner de réponse. Son attitude de petite fille prise en faute me remua. Je la trouvais soudain vraiment délicieuse. Je m’imaginais à sa place à lui, provoquant chez cette jolie femme une émotion juvénile…

- Cela mérite que nous multipliions le tout par deux, soit un total de 70.

Elle avait, à cette annonce, écarquillé les yeux et son visage était devenu implorant.

- Et oui ma belle, nous dépassons les cinquante, vous finirez donc au salon comme il se doit.

Il referma le carnet rouge, recula sa chaise et lui tendit la main.

 

Il se passa alors une chose que je n’aurais jamais imaginé voir de mes propres yeux.

Elle baissa de nouveau les yeux, posa délicatement sa petite main fine dans la sienne et se laissa aller en avant, s’installant en travers de ses genoux.

Il plia lentement le tissu de la jupe jusque sur sa taille et sous mes yeux interdits, il baissa paisiblement la culotte de coton blanc de sa femme jusqu’à ses genoux.

Il avait pris soin de s’installer de façon à m’offrir une vue imprenable sur les rondeurs blanches et charnues de celle-ci. Je restais un moment admiratif et incrédule… j’avais compris instantanément que j’allais assister à la fessée de cette magnifique dame. Une poussée d’excitation me fit me trémousser sur ma chaise et quand je réussi à quitter le tableau hypnotique de cette belle paire de fesses, je rougis en m’apercevant que son mari me regardait intensément le sourire aux lèvres.

Il me fit un clin d’œil et leva la main qui s’abattit avec fracas sur le fessier dénudé.

 

Il compta dix bonnes claques qu’il répartit avec art sur toute la surface. Puis, caressa délicatement la peau à peine rosée. Elle n’avait pas émis un son, pas résisté, pas gigotté.

De son bras gauche, il enserrait la taille fine de son épouse, la plaquant contre lui. Il leva de nouveau la main et cette fois, il fit tomber vingt fessées rapides et cinglantes avant de palper de nouveau les rondeurs qui avaient prises une teinte plus carminée. Elle s’était agitée, avait rué un peu mais n’avait toujours pas protesté.

Les dix suivantes furent très appliquée… rougissant les endroits encore pâle… sur un rythme plus désordonné. Chacune la surprenait, elle tressaillait et poussait de petits cris étouffés. Je sentais mon sexe vibrer à chacun de ses sursauts. La proximité de ses fesses nues… sa position indécente… sa fragilité sous le joug de son mari… Tout concourait à me brouiller délicieusement l’esprit et à faire enfler mon désir…

Il fit une pose plus longue, pétrissant, malaxant, effleurant le cul offert. Il s’amusait à tracer de longues lignes blanches de ses ongles sur la peau brûlante. Elle se mit à gémir doucement… comme un doux chant de bien être…

Il la laissa chanter un moment puis d’un coup, sans prévenir, il la fessa rudement. Elle ne retint plus ses cris et je compris bientôt qu’elle laissait aussi aller ses larmes…

Au bout de dix, il glissa rapidement sa main entre ses cuisses et devant moi, il la caressa rapidement. Aux bruits mouillés que j’entendais, je compris qu’elle était trempée et au cri aigu qu’elle poussa soudain ainsi qu’à la tension de tout son corps, qu’elle jouissait sans retenue. Elle avait oublié ma présence ou ma présence avait décuplé son plaisir… je ne le sus jamais, mais cela me procura un moment de pure délectation… j’étais transporté par ce spectacle si intime… excité au possible par la sensualité de l’instant.

 

Cependant, je n’avais pas encore tout vu et je n’étais pas au bout de mes surprises…

 

 

Suite : Troublante invitation 2

Par Lyzis - Publié dans : Fantaisies imaginaires
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