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Présentation

  • Lyzis et son L
  • : 10/12/2007
  • : Lire : Ici
Lundi 23 août 1 23 /08 /Août 21:35

Début : Troublante invitation

Juste avant : Troublante invitation 5

 

En retrouvant mon calme, je constatais que finalement, son fouet ne devait mesurer qu’un petit mètre cinquante… il le maniait avec application… ne cherchant qu’à provoquer ces déflagrations si impressionnantes…

Sa femme oscillait et gémissait de plus en plus… par instant son corps semblait parcouru par un tremblement qui la cambrait profondément… elle était d’une beauté incroyable…

Il avança peu à peu sur elle… agrandissant et ralentissant ses gestes…

Lorsque le morceau de cuir souple toucha sa peau… elle poussa un cri… se raidit… mais ne se déroba pas…

Il cingla alors méthodiquement une fesse puis l’autre… laissant de minuscules impacts roses…

Quand ses gémissements prirent le rythme lent de sa respiration… calquée sur celui des morsures du cuir… il changea imperceptiblement ses mouvements…

Il était en nage… tellement concentré et attentif qu’il mordait sa lèvre inférieure…

De longues… fines… et légères zébrures marquèrent alors le dos arqué de la belle…

La vitesse de la pointe du fouet ne me permettait pas de le voir toucher son but… seul les traces éphémères de son passage m’en donnaient une idée précise…

Il y eu un nouveau changement de rythme et de puissance… La cadence ralentit… jusqu’à devenir anarchique… les marques disparurent… la pointe seule touchant la peau…

Elle s’agita… baissa la tête et les épaules… offrit sa nuque… Ses phalanges blanchissaient sur le rebord de la cheminée… son bassin s’agitait avec une sorte de frénésie… sa tonalité montait dans les aigus… sa mélopée enflait en vagues…

Il concentrait les piqûres sur sa nuque… ses omoplates… le haut de sa colonne…

Elle cria … un son venu de loin… inarticulé… animal…

Elle se figea… tendue soudain comme un arc… sur la pointe de ses chaussures trop hautes…

Il s’était précipité et la reçut dans les bras… inconsciente… agitée de soubresauts incontrôlés…

Il disparut l’emportant contre lui.

 

Je restais hébété jusqu’à son retour… seul… Il arborait un sourire qui fendait son visage d’une oreille à l’autre.

- Un cognac ? On l’a bien mérité…

Après tant d’émotions et de tension… je n’étais plus à un près…

- En tout cas, merci vieux. Ça fait un moment qu’elle n’avait pas touché le ciel aussi fort… Ta présence l’a galvanisée…

- Ben ! Le plaisir est partagé… Je n’aurais pas cru voir ça un jour…

- Ca t’a plu ! Je m’en doutais… mais bon… en vrai, j’ai hésité longtemps… C’est délicat comme truc…

- Elle est où là ?

- Je l’ai couchée... Elle est partie pour la nuit. Un orgasme pareil… Elle va dormir jusqu’à demain et en rêver longtemps… J’en profiterai demain matin… Nouveau clin d’œil…

- Elle a joui d’un coup… incroyable !

- Ca coupe le souffle hein ? Elle dit que les piqûres du fouet sur sa nuque, elle les ressent jusque dans son ventre… que c’est une sensation incroyable… ça marche à tous les coups… En plus, elle est très impressionnée par le fouet… elle ne s’y fait pas… son imagination galope… C’est une cérébrale… Elle jouit d’abord avec la tête…

- Tu as beaucoup de chance. Je n’ai jamais rencontré de femme comme ça.

- Il y en a. Mais c’est vrai… j’ai de la chance…

- Bon ! Après tout ça, il va falloir que je trouve un moyen de me calmer moi… Parce que c’est… excitant … Tu es un beau salaud au fond…

Il éclata de rire et je le suivis. Rire ainsi faisait tomber la pression. Le silence s’installa pendant que nous sirotions notre quatrième cognac, chacun dans ses pensées.

Je suis rentré à pied, passablement éméché, terriblement excité et las en même temps…

Je n’ai jamais eu le désir de pratiquer moi-même ce genre de fantaisies… mais j’ai depuis, assisté à bien d’autres séances du même acabit… pas avec eux que la vie emporta loin de moi… Cependant, jamais aucune n’égala la saveur de celle-ci… La nouveauté… l’inconnu… l’incongruité… l’improbable rencontre avait donné des couleurs particulières à cette découverte. Personne n’est à l’abri, quelque soit son passé d’un instant ainsi suspendu… d’une magie insoupçonnée… Il faut juste savoir l’apprécier et en garder le souvenir comme un secret précieux…

Par Lyzis - Publié dans : Fantaisies imaginaires
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Dimanche 15 août 7 15 /08 /Août 10:33

Début : Troublante invitation

Juste avant : Troublante invitation 4

 

Il la redressa dans ses bras et l’embrassa délicatement.

- Bien ma chérie, vous avez mérité votre récompense…

Elle s’assit bien droite sur ses genoux, l’enlaça et cacha son sourire au creux de son cou.

- Allez, debout et quittez vos derniers vêtements. Gardez vos chaussures, vous savez comme j’aime ces hauts talons qui accentuent votre féminité.

Tu aimes les femmes en talons aiguilles ?

- Oui, oui. Je trouve cela très excitant. Ça leur donne une allure folle.

Rentrer dans son jeu… chauffer sa femme par les mots… éveillait en moi un plaisir nouveau.

- Elle n’est jamais aussi bien cambrée que quand elle porte des talons.

- C’est vrai qu’entre le galbe qu’ils donnent à ses mollets et la mise en valeur de son cul… Je me sentis rougir en prononçant ces mots qui la faisaient s’agiter sur ses genoux. Il serait dommage de s’en passer.

- Allons, cessez de vous frotter ainsi contre mes pantalons… un peu de tenue. Et, de grâce, prenez votre temps  pour vous dévêtir… que nous ayons le temps de profiter du spectacle.

Je mets un peu de musique… ça te dit ? Une cantate de Bach.  Une Aria… J’adore… et ça la met en condition… Il m’adressa un clin d’œil en la repoussant pour se lever.

Pendant qu’il mettait en boucle un morceau à la fois enlevé et envoutant, sa femme se dressait majestueuse et distante.

Elle attendit qu’il soit assis pour se tourner vers lui et me présenter ses fesses délicatement ombrées de zébrures pourpres…  Il était troublant de trouver si belle… si violemment attirante… si terriblement excitante… cette chair martyrisée, marquée. Un instant ma raison vacilla… cette fascination provoquait des sentiments contradictoires… je m’écœurais d’être capable de me repaitre des marques de la douleur… mais le plaisir visiblement tiré de celle-ci me libérait… je jouissais de ma position de voyeur avec délectation…

L’attitude délibérément provocatrice de la dame, accapara bien vite mes pensées…

Avec une fierté absolue, elle se dévoilait… j’en oubliais presque sa semi-nudité. Elle ondulait … tournait sur elle-même… s’offrait à nos regards croisés… les yeux fermés… intentionnellement absente… laissant ainsi nos fantasmes libres… Elle prenait tout son temps… dégrafant  son chemisier des deux mains… caressant sa nuque… dégageant ses cheveux  entre chaque bouton… La chaleur torride que ses gestes suggéraient me gagnait inexorablement… Quand son corsage glissa le long de ses bras… je n’avais plus d’yeux que pour les rondeurs luisantes qui débordaient de leurs dentelles… mes doigts rêvaient de glisser sur la peau laiteuse… humide… tendrement gonflée… Les bretelles… l’agrafe… elle tenait le morceau de tissu d’un bras… son autre main caressait… suivant exactement le chemin de mon imagination… Elle s’arrêta soudain comme désorientée… elle ne devait certainement plus savoir de quel côté était son homme, ni où je me trouvais… Elle entrouvrit imperceptiblement les yeux et se tourna vers lui pour laisser tomber le dernier rempart cachant le seul secret qu’elle ne nous avait pas encore offert.

J’étais au paroxysme de l’excitation… du moment … et une pointe acérée de jalousie me parcourut… c’était bien sur à lui qu’elle faisait ce cadeau… J’aurais donné beaucoup pour être à sa place à cet instant… Je savais qu’elle se tournerait… et qu’elle m’exhiberait sa poitrine après me l’avoir tant faite désirer… mais le sursaut de ses pointes vives… le premier regard… la projection de ses seins élastiques… tout cela n’était pas pour moi…

Elle ne se retourna pas… c’est lui qui se levant lui fit me faire face… livrant à ma concupiscence les auréoles brunes en érection… Il les maltraita deux secondes et glissant le long de ses bras, attrapa ses poignets. Il la poussa vers la cheminée et lui fit reprendre sa position initiale.

- Excuse moi vieux… je t’ai oublié pendant deux minutes… elle s’est surpassée la garce… Tu as apprécié ?

Je mis un moment avant de reprendre mes esprits.

- Magnifique ! Je n’avais jamais assisté à un tel striptease… Du grand art…

Ma voix était rauque… trop de sensations… de pensées confuses… de tension sexuelle…

- Je reviens tout de suite. Je lui ai fait une promesse.

Une envie folle de me lever… de l’attirer à moi… de la toucher… me prit aussitôt qu’il disparut. Je luttais contre mes pulsions avec force lorsqu’il réapparut… un fouet de cuir noir à la main.

Il se dirigea vers moi et me le tendit. Je ne pouvais bouger. Cet objet m’effrayait. Les tortures qu’il évoquait pour moi, le rendaient diabolique. J’avais vu trop de films, lu trop de récits sur l’antiquité quand je n’étais encore qu’un enfant. Les descriptions de morts sous le fouet m’avaient marquées dans toute leur horreur. La culpabilité que mes désirs retenus avaient provoquée, ne devait pas être, elle non plus, étrangère à mon malaise…

- Hé ! Ne fais pas cette tête… je ne vais pas lui faire de mal.

Chérie… il est très inquiet pour toi je crois !

Je te rappelle, que c’est elle qui l’a réclamé… Il t’impressionne à ce point ? Bon, détends-toi et regarde… Je me suis beaucoup entrainé avant de la caresser avec…

Il avait pris un ton enjoué tout en dépliant la longue tresse de cuir sombre, terminée d’un petit morceau plat. Il avait pris du recul et après plusieurs balancements, il fit claquer la lanière dans un bruit sec assourdissant. Je tressaillais sur mon fauteuil, percuté de plein-fouet… par l’onde de choc.

Il l’avait laissé reposer à terre et s’approchait de moi un doigt sur la bouche, les yeux tournés vers sa femme. Je suivis son regard et la vis… les yeux fermés… le menton relevé…  sa respiration ample faisait monter et descendre ses seins gonflés de désir… sa peau était parcourue de frissons visibles… ses épaules crispées en arrière, dégageaient sa nuque… sa croupe ondulait d’avant en arrière lascivement… ses jambes étaient tendues sur ses talons aiguilles… les pulsions de son sexe étaient palpables… la sensualité qu’elle dégageait était époustouflante…

- Ce simple son la met en transe… Comment la priver de ce plaisir… Il murmurait. Je n’arrive pas à savoir ce qu’il se passe dans sa tête à cet instant… mais je ne résiste pas à la voir ainsi…

Il se releva, me fit un clin d’œil et s’éloigna de nouveau pour reprendre ses arabesques de plus en plus rapides…

 

Fin : Troublante invitation Fin

 

Par Lyzis - Publié dans : Fantaisies imaginaires
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Lundi 2 août 1 02 /08 /Août 06:20

Début : Troublante invitation

Juste avant : Troublante invitation 3

 

Commença alors sous mes yeux un ballet singulier. Il se déplaçait très lentement… tournait autour d’elle d’un pas de prédateur… totalement concentré… il fixait intensément sa femme. En contraste avec ses pas mesurés, il faisait tournoyer les deux martinets aux reflets rouges avec une dextérité et une vitesse qui remplissait l’air. De ma place, je sentais l’odeur du cuir et le vent que levaient ses moulinets cadencés. Un instant je me persuadais que jamais il n’effleurerait sa femme de ces centaines de brins sauvages qui déchireraient sans aucun doute la peau délicate. Elle frémissait… totalement immobile… proie hypnotisée… paralysée… enveloppée… par les caresses aériennes que déplaçaient les instruments…

Sans même que je ne perçoive un changement… un claquement… un cri étouffé… un recul brusque de tout le corps de la belle, m’indiqua que le cuir avait mordu… J’avais fait un bond dans mon fauteuil… une sueur froide me courait le long de l’échine… je me redressais et me concentrais… J’étais perdu… ne sachant où regarder pour éviter la surprise… Ses pas de danse étrangement calmes ? Le dessin hypnotisant de ses bras se croisant dans un rythme soutenu ? Le tourbillon incessant des lanières ? Les fesses de nouveau en position de demande ?

Elle avait en effet repris sa place et tendait plus encore ses rondeurs au contact. Un gémissement langoureux s’échappait de ses lèvres serrées… comme une prière… une supplique… un souhait…

-Oui ! Encore ! Je ne veux plus attendre ! S’il te plait, vas au bout ! Caresse-moi sauvagement ! Brûle moi de tes lanières ! Arrête de tourner autour ! Tue-moi !

Elle ne parlait pas… mais j’imaginais ces mots sortant de sa bouche et une vague d’excitation me submergea.

La mélodie débuta aussitôt. Les claquements réguliers donnaient la mesure au chant inarticulé…  La litanie prenait de l’ampleur en même temps qu’augmentait l’ondulation du corps de la femme … Les gestes de l’homme restaient précis… réglés comme un métronome… dans une concentration presque douloureuse… La tension qui se dégageait du couple était palpable… d’un érotisme à couper le souffle…

D’ailleurs, j’étais encore en apnée et ne repris mon souffle que quand les deux martinets tombèrent brusquement au sol en même temps.

Il les avait lâchés et en deux pas avait pris possession de ses fesses. Il avait posé ses larges mains sur les globes écarlates et lui mordait la nuque. La mélopée qui s’élevait de ses lèvres atteint les aigus et elle se tendit comme un arc avant de se laisser glisser dans ses bras.

Il la porta jusqu’au fauteuil et la garda sur ses genoux… comme on protège et console un petit être fragile. Il ne la quittait pas des yeux… attendant visiblement qu’elle revienne… Elle finit par ouvrir les siens et lui offrir un sourire immense… je pouvais lire un amour infini dans son regard. Cet échange muet me remua jusqu’aux tripes. Quel homme ne désirerait qu’une femme le regarde ainsi ?

Quand enfin il leva les yeux vers moi, il y avait en lui un mélange de sentiments que je fus bien en peine de tous reconnaitre. Mais il était heureux… ça, ça ne faisait aucun doute…

 

Après : Troublante invitation 5

 

Par Lyzis - Publié dans : Fantaisies imaginaires
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Samedi 31 juillet 6 31 /07 /Juil 09:40

Début : Troublante invitation

Juste avant : Troublante invitation 2

 

 

Lorsque mon hôte s’effaça pour me laisser entrer, je découvris un nouveau spectacle charmant… déconcertant…

Sa femme nous tournait le dos. Elle avait les deux mains posées sur le tablier de la cheminée… les épaules et la tête bien droites… les jambes légèrement écartées…comme perchée sur ses vertigineux talons aiguille…  ses magnifiques fesses encore bien rouges semblaient tendues vers nous… soulignées par la blancheur immaculée de son chemisier cintré…  à la fois totalement indécente et comme intouchable…

Une photo de Bourdin… absurde… onirique… provocatrice… troublante… palpable et déconnectée du réel…

Je restais un moment sur le seuil avant de pouvoir bouger. Mon compagnon m’avait laissé tout le temps, lui-même absorbé par la contemplation de sa belle. Il m’offrit un cognac avant de me proposer un fauteuil d’où je pouvais admirer sa femme de trois quart… et s’assit dans l’autre.

- Alors, mon cher, où en étions-nous ? Ah ! Oui ! Tu me disais que j’avais une femme excitante… c’est bien ça ?

Je déglutis pour reprendre contenance. J’étais heureux que celle-ci me tourne le dos… elle ne pouvais voir la gène qui s’emparait de moi… Je n’avais jamais parlé d’une femme en sa présence. Bien sur, avec les potes, il arrivait fréquemment que nous fassions des commentaires plus ou moins grivois sur telle ou telle nana… mais parler crument d’une femme dans son dos… alors qu’elle entend tout…

-Il est tout rouge ma chérie… je crois que tu lui fais vraiment beaucoup d’effet… Si tu le voyais…

Non, interdit de bouger ! Dîtes ma chère… je vous trouve fort effrontée… Il vous reste 20 à payer… voudriez vous que je multiplie par 2 ?

Elle se raidit aussitôt, imprimant un très léger mouvement de tête pour exprimer la négation. Elle se cambra plus encore, dans une posture quasi improbable. Je n’avais jamais vu une femme creuser à ce point ses reins. Cela accentuait la finesse de sa taille… épanouissait la rondeur de ses fesses…

-Je préfère ça. Mon ami aussi d’ailleurs… il est hypnotisé par votre cul…

Tu vois les mouvements imperceptibles de son ventre ? Là, elle doit fondre littéralement… Elle ne voit pas ton regard… mais elle l’imagine très bien…

N’est-ce pas ma chérie ? Vous n’avez pas honte de provoquer ainsi mon ami ?

Dois-je lui demander de se rhabiller ?

- Non, non ! Heu ! … Au contraire !...  Je trouve ça… délicieux… Enfin, je veux dire… ça me plait beaucoup comme ça…

Je cherchais mes mots… encore trop paniqué pour parler normalement. Mon collègue avait le visage hilare. Je le sentis soudain prêt à éclater de rire. Cela me piqua au vif. J’étais vexé de ne pas pouvoir me maîtriser, de lui sembler ridicule. Et elle… qu’allait-elle penser de moi si je ne me montrais pas à la hauteur ? Je voulais l’impressionner « Elle ». Je voulais lui plaire. Je ne supportais pas l’idée qu’elle se moque de moi… qu’elle me trouve idiot. Je bus d’une traite mon verre pour me donner du courage et reprendre la main.

- Franchement, comment ne pas admirer une telle… croupe !

Je rougissais d’utiliser un tel mot en sa présence. Je m’attendais à la voir se retourner et me fusiller du regard, mais au contraire, elle tendit les jambes et balança ses hanches dans un mouvement lascif.

- Ca vous plait que nous admirions ainsi votre derrière… Il faut bien dire qu’il est somptueux… surtout écarlate après cette fessée plus que mérité. Vous devriez avoir honte.

Qu’en penses-tu n’est-ce pas honteux de prendre une fessée ainsi, devant ses invités ?

- Oui ! Honteux ! Mais délicieux pour l’invité…

- C’est vrai. J’ai remarqué à quel point tu as apprécié… Il faut avouer que voir ainsi une femme digne et tout, bien sous tout rapport, et belle en plus, presque hautaine même… se prendre une bonne fessée, comme une vilaine gosse qu’elle est restée au fond… ça remue…

Il me faisait des clins d’œil  me désignant du menton les changements plus ou moins visibles dans la posture de sa femme. Elle se redressait parfois sur ses pointes de pieds… penchait la tête… tanguait du bassin… levait ou baissait les épaules… Mais ce qui me fascinait le plus était les contractions de son ventre… je pouvais voir le petit triangle sombre bouger imperceptiblement… J’imaginais la moiteur qui devait immanquablement se répandre au creux de ses cuisses écartées… Mes doigts me démangeaient à l’idée de palper ses fesses rondes et épanouies qu’elle tendait démesurément vers nous…

- Bon, ce n’est pas le tout…Nous bavardons, mais j’ai un travail à terminer avant de boire un troisième cognac…

Je la vit se raidir tendit qu’il quittait tranquillement son fauteuil. En passant près d’elle, il caressa nonchalamment ses rondeurs qu’elle tendit encore plus vers lui en gémissant doucement.

- Allons, ne cherchez pas à m’amadouer… vous n’avez que ce que vous méritez.

De là où j’étais, je vis se dessiner un sourire sur les lèvres de la belle qu’elle mordilla aussitôt. Je n’arrivais pas à déterminer si ce qui devait se passer l’effrayait… la gênait… lui plaisait… C’était troublant de s’interroger ainsi sur ce qu’elle ressentait. Je me rassurais en me disant qu’elle se serait dérobée si au fond elle n’avait pas été consentante.

Pendant que je me posais toutes ces questions, mon ami avait disparu et lorsqu’il revint, je fus impressionné par ce qu’il tenait en mains. Des instruments qui en temps ordinaires m’auraient paru barbares… mais qui dans ces circonstances particulières me frictionnèrent l’imaginaire…

Deux longs et lourds martinets de cuir qu’il faisait doucement tournoyer…

- Combien nous doit-elle encore ? Je ne m’en souviens pas… 20 ? 30 ? 40 ?

Tu t’en souviens toi ?

- 20 ! Dit-elle d’une voix rauque…

- Vous avez donc retrouvé la parole ! Bien ! Allons-y pour 20. Mais attention… interdiction de jouir avant la fin ou nous recommençons au début.

Elle se crispa.

- Je ne plaisante pas. D’ailleurs… si vous résistez… je vous promets une récompense… un petit plaisir… Celui que je ne sors pas assez à votre goût et tout en douceur comme vous aimez…

Cette fois-ci elle tourna la tête vers lui et je devinais un sourire de gratitude et des yeux pétillants de désir… Je n’avais aucune idée de la teneur de sa promesse, mais cela ne me troublait plus… J’étais dans l’attente curieuse et déjà excité de ce qui allait se produire, mais finalement, sans inquiétude.

L’idée qu’elle pouvait jouir sous des coups de martinets, m’intriguait. Ma présence indiscrète augmentait l’érotisme de la situation et je me laissais envahir par les émotions, bien décidé à en profiter.

 

Après : Troublante invitation 4

 

Par Lyzis - Publié dans : Fantaisies imaginaires
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Mardi 20 juillet 2 20 /07 /Juil 06:58

Avant : Troublante invitation

 

 

Cependant, je n’avais pas encore tout vu et n’étais pas au bout de mes surprises…

 

Le tableau que j’avais sous les yeux resta un moment figé… puis, peu à peu la belle dame se laissa glisser le long des jambes de son époux et s’abandonna sur ses genoux, la tête posée dans les bras et les fesses toujours nues sur la fraîcheur du carrelage.

C’était très émouvant de la voir ainsi abandonnée, sereine et fragile.

Elle finit cependant par se ressaisir et lorsqu’elle leva les yeux vers lui, il lui sourit chaleureusement. Il n’avait pas cessé de lui caresser les cheveux.

- Allez ma mie, levez vous lentement et posez sur la table votre culotte et votre jupe. Nous vous rejoindrons au salon.

Je restais suspendu aux gestes lents de cette femme qui avec beaucoup d’élégance et de dignité, une fois debout devant lui, finit de faire glisser le petit morceau de coton jusqu’à ses pieds. Elle se pencha, m’offrant ostensiblement une vue délicieuse sur la naissance de ses fesses en feu et sur l’abricot fendu, gonflé et ruisselant loger dans le triangle de ses cuisses serrées.

Elle mit un temps qui me parut interminable à se relever, tout en pliant l’étoffe pour la poser sur la table. Quand sa jupe eue de nouveau cachée ses secrets, je me remis enfin à respirer… je ne m’étais même pas aperçu que j’étais en apnée devant le spectacle qu’elle m’avait offert.

Je dus me tortiller pour rendre un peu d’aise au désir comprimé dans mon pantalon. Son mari qui n’avait rien raté, me souriait en levant ses sourcils dans une mimique d’entendement…

Je n’eus pas le temps de rougir, un nouvel acte accapara mes pensées… Elle déboutonna sa jupe et fit descendre le zip. Mais au lieu de la laissée tomber, elle la retint et leva une jambe après l’autre avec souplesse pour les sortir du morceau de tissu. Elle se remit bien droite pour plier et poser celle-ci.

Le ciseau de ses cuisses s’était ouvert par deux fois, faisant battre mes tempes jusqu’au bout de mes doigts qui se seraient bien perdus dans le calice secret qui leur était dévoilé… Je restais hypnotisé par le triangle sombre qui remplissait mon cerveau…

Quand je levais enfin les yeux jusqu’au visage de la belle… les siens étaient fixés sur moi… troubles… brillants… Un sourire étrange mélange de fierté… de convoitise… de gène… illuminait le rose de ses joues…

Elle se détourna rapidement et partit d’une démarche assurée et provocante.

- Elle est belle n’est-ce pas ? Mais oui, nous vous regardons, continuez à nous provoquer… vous ne perdez rien pour attendre…

J’adore quand elle marche ainsi…  cambrée… à la fois sur la pointe des pieds et sur un tapis rouge… ce mélange de timidité et d’arrogance.

Dis-moi, tu apprécies ou tu veux partir maintenant ?

J’imagine qu’à la couleur de mon visage, au trouble de mon regard et au sourire béat que je ne devais pas manquer d’afficher, il avait une idée assez précise de mes désirs. Mais visiblement, il attendait de moi que je me reprenne et que je confirme mes pensées.

- Je… Enfin c’est… Je soufflais un grand coup, respirant profondément pour me ressaisir. Je n’aurai jamais imaginé… enfin… je n’avais jamais vu…

Oh ! La la ! Je suis perturbé là…

Il afficha un grand sourire… pas ironique comme à son habitude… il était visiblement content.

- Prends ton temps. Je ne voulais pas te choquer. J’espérais que tu apprécierais. Mais j’avoue que j’avais quand même peur que tu prennes ça à la rigolade. On plaisante parfois si grassement au bureau… Au dernier moment… je me suis demandé si j’avais eu raison. Je n’avais pas envie de la blesser… Elle est fragile… Mais là… je ne regrette plus du tout. C’est trop excitant que tu sois là… Tu la trouves comment ? Elle est belle hein !? En plus, tu la regardes juste comme il faut… désir et respect… Ouah ! C’est  trop bien… Je suis hyper content… Mais et toi, dis-moi ce que ça te fait. Ou plutôt, non. Viens, tu vas me dire tes impressions dans le salon… qu’elle entende… je suis sur que ça va la perturber de t’entendre raconter comme elle te fait bander…


Aprés : Troublante invitation 3

 

Par Lyzis - Publié dans : Fantaisies imaginaires
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